L. Vastel, pour justifier son programme intensif de construction immobilière à Fontenay-aux-Roses se réfère sans cesse aux obligations de construction imposées par le SDRIF (1500 logements d’ici 2030).
Il oublie en revanche deux points majeurs :
1/ au regard des caractéristiques de notre commune (45eme commune la plus dense de France, pas de friche permettant de reconstruire la ville sur la ville selon la formule préférée des aménageurs…), ce chiffre peut être négocié légèrement à la baisse avec le représentant de l’État. Notre objectif se situe autour de 1300 logements.
Tout le monde convient que cette négociation aboutira. A une seule exception : celle des nouveaux candidats présents sur la liste de L. Vastel qui n’ont pourtant pas la moindre expérience de la gestion publique…
Toutes choses étant égales par ailleurs, ils me rappellent les nouveaux députés En Marche (qui soutiennent officiellement L. Vastel) qui venaient en juin 2017 faire la leçon, malgré leur absence totale d’expérience en la matière, à Laurent Wauquiez, Philippe Richert, Hervé Morin, Alain Rousset où Marie-Guite Dufay, présidents de région expérimentés de droite ou de gauche, sur la manière de gérer les lycées, l’apprentissage, les transports ou les fonds européens…
2/ le nombre de logements déjà livrés, en cours de construction, avec un permis de construire délivré (et faisant le cas échéant l’objet d’un recours) ou annoncé publiquement par lui (par exemple 600 logements supplémentaires aux Blagis) dépasse très largement ce chiffre de 1500.
Nous publierons d’ici quelques jours, preuves à l’appui, les véritables chiffres qui montrent la politique hyperdensificatrice de L. Vastel dans notre commune.
Gilles Mergy