Comme l’écrit la journaliste du Parisien dans l’article ci dessous, un signalement a été fait dans cette affaire au Procureur de la République et il faut donc laisser la justice agir.
Je remarque toutefois que c’est la deuxième fois en un mois que des dérives éthiques potentielles sont mises en exergue par le journal Le Parisien au sein de la municipalité de Fontenay-aux-Roses.
La première fois c’était sur les conditions d’attribution des logements sociaux dans un article en date du 2 janvier 2024.
Pour m’être rendu à l’invitation des co-propriétaires au 24 avenue Lombart, je peux attester que les malfaçons sont visibles à l’œil nu même pour un non spécialiste. Il appartiendra en tout état de cause à la justice d’évaluer les responsabilités respectives du promoteur immobilier qui serait selon plusieurs sources proche de la municipalité, de l’architecte dont l’épouse est maire adjointe et membre de la commission des permis de construire et de la municipalité elle même.
Gilles Mergy